Au bout du fond des neaux.
Il y a la roche fendu,
Puis plus loin...
Du haut froid du Pinco,
Vers la chaleur des Hâts,
Il y là peut être encore,
Mille âmes,
Du long prés,
Au trou des rousses,
Datant de guerre de deux milles ans,
Les légions de Cesar, auraient bataillées là.
Une tornade, passa, comme un cygne volant,
De l'église à chassepierre, vers la Gaule là-bas.
L'endroit est trés beau, mais souvent, un peu froid,
La riviére coulait cristaline, entre pierres et renoncules,
Du printemps, blanche de leurs fleurs, à l'été mortes dérivantes,
Et des temps d'enfance de milliers de gougeons et en centaine de vairons,
Des cailloux brillants de mille jolies couleurs d'eaux claires cachants loches et chabots.
Les demoiselles de leur mutation d'été, bleues ou vertes parfois,
Brillante de soleil sur le jonc,
Jouant entre les rayons de l'air frais,
Se mourrant de l'amour,
De mille petites fées de fin de mai.
Dans ce courant là,
Parait il,
Une sauvage de chaire rose de gamares,
C'était offerte, Bataillante.
La partie finissant,
Des la permiére barque,
Glissant doucement,
Entre les islés des sorciéres.
Si vous y alliez,
Imaginez,
Des restes,
Ce que cela était.
...de loutre...
Vous n'aurez de chance,
Je pense avoir vu la derniere,
Du lieu.
Une heure durant d'un métre de gris bleu de schiste,
Elle jouait comme un enfant à plonger et remonter,
Moi n'osant bouger,
Ni l'un, ni l'autre ne pêchions.
Si vous saviez.
A mes enfants,
A ma grand mére et mon grand pére,
A mes amours et mes amitiers gaumaises,
El..T
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