Votre blog de MA Folie de la Liberté de l'AMour.: Je les encourage de tout Coeur, parce que en Afrique, j'étais bronzé !

Les Belles familles d'un écologiste !

Le 9 juin 2009 ma femme Divorce

C'est finalement une boucle, en juin 2007 nous avions été à un mariage à Granville.

Ce weekend là, avait été le début du préparatif de son divorce par une Famille entiére.

Ma femme m'avait laissé à la vincdicte de ses proches, bien sur, c'était pas réellement la premiere fois.

D'aillieur dans sa famille la régle c'était plutôt, Eric ferme là, Eric tu est qu'un con, Eric reggarde ce que tu devenus, Eric tu devrais allez à l'hopital..., Eric tu n'es pas bien...

Eric, Eric...Eric en avait tellement marre de les voir et de les entendre, qu'il se mettait toujours à table du coté des enfants, ...mais leurs enfants ont fini aussi par grandirent.

Alors ils sont passé aussi par des déstabilisations en menaces subjuguées...cette année là !

"On va faire dormir Eric dans la cabane en bois au fond du Jardin..."

"Ils vont passer... à la maison, et ton beau Frére va d'abord ...achetter une Arme...de poing, tu te rappelles, il fait du tir dans un stand du Nord Cotentin..."

Je n'aime pas leurs armes...elle n'ont rien de protectrice.

Alors, entre ceux de la belle famille de Lahague et les autres de Groupe sans "ama"bilité, il fallait mieux ne rien dire pour espérer continuer à voir grandir mes enfants.

Puis courant l'été 2007, j'ai intercepté par hazard des messages pour ma femme venant de sa famille.

Ils étaient des mensonges à faire de moi un homophobe en septembre 2008, puis un presque pédophile familiale dans des évocations pouvant laisser planner un doute ècoeurant.

Mais Cogema ? en rebondissement sur une actualité criminelle grave avait déjà essayé "je pense" dans ma "parrano" de l'époque de monter une affaire de 1995 à 1996, alors que je travaillais dans la Manche et été suivi, par le passage quotidien de la gendarmerie de Les Pieux devant mon lieu de résidence de Siouville Hague, coté plage (cette partie de la commune aurait changé de nom, parait il...) rue Alfred Rossel où j'étais parfois visité...

Il était clair que mon épouse avec ses proches préparaient un divorce et par l'expérience et la connaissance de ma belle famille, je savais depuis toujours que divorce voudrait dire risque de ne jamais revoir mes enfants.

L'enfer...

Et mon épouse me l'a fait jusque Aout 2008 et depuis...

Elle a prévu trop rapidement, début 2008 de changer de métier ce qui de facto nous fragilisait financierement, elle travaillait alors depuis dix ans dans une ou des entreprises à rachats susccessifs de logiciel de gestion des fiches trés personnelles pour la pharmacie du médicament.

Ne recherchez pas ses collégues de longue date qui la connaissaient, ils sont tous partis au printemps 2008 et son ex amant était parti bien avant au Canada parrait' il.

Juin 2008, notre couple explosait en dissonance, ma femme allait au delà du raisonnonable dans ses manipulations des enfants dans un jeu de chaud et froid insuportable et finalement, elle annonce en début juillet 2008 que j'allais recevoir une lettre d'un avocat oû elle se sépare de corp et bien et me laisse un mois pour quitter la maison.

Cette lettre a disparu.

Elle m'a poussé, pendant une année à quitter notre maison et elle a été un jour jusqu'à ce jetter en "laissé glisser" dans la cage d'escalier et mais je l'ai rattrapé en bas et elle n'avait eu un énorme bleu à la cuisse, elle aurait pu se là fracturer.

Elle était prete à beaucoup et sans réelle raison elle partait une heure ou deux pour ce calmer disait elle, j'ai appris aprés qu'elle avait été voir le centre médicospychologique ...pour moi ?...j'étais à la maison coincée avec mes trois enfants et elle travaillait à plein temps et était plutôt libre, j'avais toujours au moins, mon fils qui était encore bébé.

Et mes instants de liberté, c'était parfois le soir pour faire les courses.

Je savais et depuis longtemp, elle n'avait comme objectif avec la complaisance de ma mére de me remettre en douceur dans les pattes d'un spychiatre de leur "choix".

Non, je ne suis pas fou, je n'ai pas d'angoise, je délire pas, je suis pas parranoïque ...mais méfiant, je ne suis pas plus violent que vous sans doute.

J'ai simplement travaillé où il ne fallait pas en tant qu'écologiste méme modéré.

j'ai rencontré mon épouse à Lahague, j'y travallais à la mise au point d'installation à l'UCD de R2 UP2 800 et quelques mois aprés, elle a participé a mon hospitalisation d'office aprés que mon pére ai vu un prefet à ma demande.

Concernant non pas un probléme de santée mais mon passé professionnel, d'écologiste de service à la compagnie générale des eaux et puis aprés pour la compagnie générale des matiéreres nucléaires.

Dont certain de mes souvenirs passent en perte et profit pour la mémoire de la république, mais qui ne passeront pas par ma perte et pour la mémoire de mes enfants...

Alors je suis sorti intelligement de leur griffe spychiatrique, il y a 9 ans.

J'ai travaillé malgrés de nombreux coup de faux, je me suis consacré à l'éducation de mes enfants et personne n'a jamais trouvé rien a y redire depuis ces neufs derniéres années passées en Lorraine.

Et certain n'ont sans doute eu qu'une partie de leur récompense ou de leur assurance en avenir financier et des risques d'imposition.

Alors l'état de la constrution de ce divorce, je l'ai rescenti comme un essai déstabilisation.

Cela a été trés difficile, insuportable d'être séparé de ses enfants.

je ne suis pas désolé de vous dire à tous que je suis depuis une année encore plus déterminé politiquement en tant qu'écologiste et bien plus fort.

Alors ma femme, tu as bien joué, tu as fait croire , qu'il y avait une possibilité que je sois dangereux pour les enfants.

Oui c'est vrais, j'ai pour eux refusé cette séparation et j'ai refusé ton divorce !

Et quand, j'ai reçu un mois aprés ce mois de juillet en face à face infernale, sans jamais que je lui fasse du mal et je lui rapelle que je l'ai jamais violenté en douze années de vie commune...

Sa lettre d'avocat de demande de divorce de ce mois d'aout 2008 me laissant dans une situation impossible dans un cul de sac, sans espoir pour un avenir avec mes enfants !

Elle avec son sourire, qui disait : ...tu vois je baise...

Alors, j'ai eu cette faiblesse et je l'ai empoigné...peut être méme un instant ai je eu le fantasme absurde de sa disparition...mais il n'en a rien été et elle a couru chez des voisins, ... je l'ai laissez faire, ne voulant pas prendre le risque de la Blesser.

Elle a été vers la bonne porte, pas celle de voisin qui aurait pu modéré la situation, mais celle qui allait certainement appeller la gendarmerie pour la mise à mort de ma paternitée

Alors, ils sont venus, je m'occuppais seul à ce moment là de mon fils et de mes filles depuis peut être trois quart d'heure.

Ce qui devait être qu'une simple déposition de ma part

...c'est transformé en garde à vue improbable avec ses accusations plutôt agravante sur les petites ou longues secondes de ces faits.

j'ai du pour sortir faire promesse par signature du fait que je souhaitais ? voir un spychiatre.

Les militaires ont finalement pris un rendez dans un unitée spychiatrique, plus d'une semaine aprés, je ne pouvais le croire, mais je ne doute pas que le ministre de la défence ne soit pas au courant.

Je n'ai bien sur pas été prendre ma nouvelle piqure et trois nouvelles années de neuroleptiques lourds supplémentaires.

Je ne suis pas fou, alors j'ai écris à AREVA, pour "la moindre des choses" et utilisé mon inteligence en développement de Blog en Blog, pour mon écriture et éviter un nouvel épisode possible en sorte de Temple Solaire...dans la Manche.

Et je ne suis surtout pas retrouné en précipitation vers la Manche.

J'ai pris des contacts anciens, mon épouse ayant finalement aprés la consiliation impossible du 17 octobre 2008 avec la JAF de Nancy pour divorse obtenu que je ne puisse pas voir mes enfants sauf dans une association de Cherbourg chargée d'handicapés mentaux et dont la responsable qualité était une ancienne collégue qui avait pris ma suite dans mes anciennes fonctions qualité sécurité dans le domaine CEFRI dans la manche en 1996.

J'ai envisagé de revoir mes enfants dans ses conditions et pour protection, j'ai contacté et fait parvenir un message au prefet de la manche via un de mes anciens directeurs devenus notables du nord cotentin et ancien ami,et je suppose, d'un ancien particulier "prefet" qui n'a sans doute pas les convictions de l'homme au Bonnet rouge.

Mon épouse avec les enfants en janvier 2009, c'est installé sur Saint Lô, elle y a trouvé un travail parrait il à la prefecture au service de l'enfance.

Monsieur le président Nicolas Sarkosy est parti en visite politique d'école de cette ville en Janvier 2009 et comme il aurait eu une certaine résistance, il a fait sauter le préfet et ce qui n'a rien avoir avec mes problémes, bien certainement, j'en conviens.

Mais j'avais fait passé une demande à l'ancien Prefet, je suis certain qui il y a eu action.

Le nouveau prefet de la Manche est une personne d'origne de carriére militaire...cela ne m'a pas semblé être un bon signe pour l'évitement d'une hospitalisation d'office qui aurait pu être demandé par ma belle famille, alors je suis resté dans la Meurthe et Moselle ou on me connait un peu et mes moyens financiers étant aussi limité.

De plus il avait toute les probabilités pour que mon épouse ne laisse pas voir mes enfants dans des conditions acceptables et pousse ou provoque un "clache".

Ce qu'elle avait fait le 16 octobre 2008 au soir en entrant en force à mon domicile avec une de ses soeurs et venant avec deux hommes inconnus, j'avais écrit au premier ministre en déraison et pour notre sécurité à tous.

Le 17 janvier 2009, nous avons revu le juge pour ce qui devait être à mon sens le prononcé du divorce, je souhaitais pour ma part l'annulation du mariage ce 17 d'octobre précédant.

Le juge a fait ordonner expertise sociale et spychiatrique à mon encontre et un expert infirmier spychiatrique ? des prisons ? est venu chez moi pour l'enquéte sociale.

Je l'ai reçu normalement et j'ai reçu son rapport comme un coup poignard négatif définif de mes chances de revoir mes enfants avant trés longtemp.

Alors que faire, dans la situation de ce divorce ne pouvant tout meler (et ce que je fait ici est en rien trahison en quelques méli-mélos, c'est le minimum des minimuns de notre histoire et c'est la limite dangereuse que je me fixe pour mes enfants) .

Dans notre histoire de couple, pour ma part, il y a de l'amour.

J'ai été sans avocat et pour notre sécurité obligé d'invoquer "le secret défense" et la réponse prévisible de la justice a été l'expertise spychiatrique.

Non, je ne suis pas fou, je suis rationnellement normal et dans ma normalité, je crois à la possibilité de l'impartialité irrationnelle des experts et je n'ai pas voulu jouer définitivement mes enfants au jeu de la roulette russe du médecin expert,... j'ai preféré celui plus provissoire de la caducité.

Je me suis toujour occupé de mes enfants, j' étais un pére au foyer depuis deux ans en libre choix d'activité pour mes trois enfants, mon fils bébé et mes deux filles de 6 et 8 ans, je les aimes !

Je suis un pére qui n'a pas vu ses enfants (on me les a arraché pendant la grade vue le 05 ou le 06 aout 2008) depuis presque un an et personne ne fait rien pour qu'il en soit autrement, ni la mére, ni ma famille (que j'emmerde du reste au passage), ni au ministére de la famille et de la justice.

Je ne crois pas à l'aide juridique de l'état qui me semble ne pas être à la hauteur pour pouvoir assurer mes demandes de justice de pére et je suis donc sans avocat officiellement, à me battre seul.

Je ne souhaite que revoir mes enfants et mieux encore qu'ils vivent avec moi.

je sais que la relation est destructurée depuis une année, ma grande qui était tres proche moi est maintenant persuadée que je suis le méchants et mon épouse et sa famille sont les gentilles.

C'est bien sur plus complexe, à la maison jusquand 2008 elle comprennait bien et c'était moi qui souffrait et elle soutenait son pére face aux exces injuste de sa mére.

Mais avec le temps,une belle famille, d'autre sans doute, trois tantes déguisées en marraines les bonnes fées et le temps ...ils délitent tout.

J'ai des contacts avec mes enfants, souvent difficile et depuis noël 2008 via messageries instantanés, sous condition de mon épouse et en relations maintenues précaires et élastiques.

Depuis quelques temps, il y a du mieux comme à chaque fois qu'on va bientôt à un rendez vous avec madame le juge des affaire familiales de Nancy.

Ne soyez pas dupe dés le divorce prononcé, cette guerre va repprendre, et ma femme est une guerriere de l'amour.

Peut être il n'y aura plus de contact et comme pour un beau frére que je n'ai pas connu, ils diront à mes enfants, qu'ils n'ont pas de nouvelle de moi...et que je suis un mauvais pére.

Nous ne nous sommes pas entretués, comme un député et sa coinjointe de Lorraine, j'ai compris la complexité des absurdités féminine et les dans son reggard, et la mienne en mirroir, il y a un an, bientôt.

Je ne me suis pas suicidé non plus depuis et le ferait jamais, mes enfants vivent et sont en bonne santé, sont il en sécurité avec leur mére ? je l'espére.

J'espére que l'état y veille, que le prefet de la Manche comprenne et qu'il ne les jouera pas sur ses tableaux, ...

Mes enfants ne sont pas des soldats pret à servir, je pense que mon pére et moi nous avons assez donné...j'espére que la raison va gagné tout le monde.

Mais elle ne se fera pas sur ma liberté ou l'abandon de mes opignons politiques, car c'est l'avenir de tous et des enfants de France qui est en jeu.

Leur droit de vivre dans une démocratie où l'on peut remettre en cause les pouvoirs, quand ils basculent dans l'absurtité et le droit pour les enfants de grandir avec une relation parrentale correcte aprés les séparations de la vie.

Cela assuré par la loi et l'état, méme dans les affaires de l'état.

Mes enfants auront besoin de moi, j'aime mes enfants et personne ne pourrra à long terme veiller sur eux et les protéger comme leur pére.

Lorsque que j'avais vu pour la premiere fois celle qui aurait du être mon avocate, je lui ai dit

"si il faut je retrounerais la république pour mes enfants !"

Je crois qu'elle ne m'a pas compris, ce jour là.

EL,.T

Le puit de Bersabée

je réve, d'un jour,
d'autres liens d'avenir,
au nord de la pierre,
ponce angulaire du Sinaï
et de la mire blanche.

je réve de partage,
tel les arts et la danse,
des hommes et des femmes
et de leurs enfants,
du soleil levant et vers l'est.

De Foumbam,
De Gorée ou d'Agadir,
pour aller,
dans les desserts d'Arabie,
et par delà de la Perse,
et du bosphore.

Empruntant le passage,
des Terres, Saintes,
de Gaza, d'Israël, de Palestine,
dans le respect des croyances,
de l'identités des peuples,
et les amitiés des hommes.

Une route tranquille
et chemin paix,
passant de l'égypte ancienne,
vers une nouvelle Gaza,
puis traversant le desert,
d'étoiles de schiste bleu,
aussi Negev des bédouins,
et de ma rare priére.

Elle arriverait dans les pays,
des palestiens et de Jordanie,
par les deux voies,
de l'eau et du sel,
de la vie, de la Mer.

L'une
grâce à l'isthme
d'Arava,
l'autre,
au pont du jourdin,
loin de la ville de Jéricho,
et d'un mur.

Et je réve,
d'une maison,
terre de Françe,
"médina de Gaule",
ouverte, à Jerusalem,
aidant à la paix,
aux libertés,
aux fraternités,
aux égalités,
aux amitiés,
des êtres humains,
A nos bonheurs,
A nos utopies...
dans le respect,
des autres et
de notre maison,
notre ile celestes à tous,

Et pour celui,
qui le souhaite,
et les croyants,
pour la Grâce
du tout...

A tous dont
mes enfants,
Les méres,
Les amis,
Les amours,
ma famille,
Et spécialement,
Aux enfants d'afrique
et du moyen orient.

Poésie de EL.T

La déraison

Chanson de Barbara

A te regarder vivre en plein soleil,
A te regarder vivre, je m'émerveille
Et j'en oublie l'hiver et son cortège.
Je ne vois plus tomber la neige.
J'ai trouvé, ce matin, à mon réveil,
Ce petit bout de givre sur mon sommeil.
J'ai trouvé, ce matin, au creux de moi,
Comme un cristal, ce bout de froid
Et j'ai posé sur ton épaule,
On ne croira pas, c'est vraiment drôle
Mais je l'ai vu se fondre, tout pareil
Comme du givre à ton sommeil.
Je vis sous un ciel aux couleurs d'ombre
Qui n'a ni juillet, ni décembre
A te regarder vivre, à l'abandon.
J'ai choisi pour saison, la déraison
Et fasse que longtemps, en plein soleil,
A se regarder vivre, on s'émerveille,
Et fasse que longtemps, en plein soleil,
A se regarder vivre, on s'émerveille.
C'est qu'alors nous vivrons à l'unisson
En ayant pour saison la déraison.
C'est qu'alors nous vivrons à l'unisson
En ayant pour saison la déraison,
La déraison, la déraison...
http://www.dailymotion.com/search/l%252527aigle%252Bnoir/video/x995a_laigle-noir-barbara_music

Je peus comprendre mais je ne supporte pas l'intolérance des extrémismes

Le jeu du silence

"Fussioner n'est pas fissioner...se marier n'est pas toujours synonyme de divorce" pensait Odyle, en regardant un couple Binôme, Mirages passant à travers les nuages.

La journée avait été longue.
Les enfants fatigués par l'excurssion, de cette fin année scolaire, entraient doucement en létargie.
Le car tangait, gitait, sur cette route des colines du dos de la Lorraine !
Tout grand écolier sait qu'il s'appuie à l'est, sur le massif vosgien.

Le soir en cette fin de printemp arrivait, envelopant la tiédeur grise du rougeoiement de la campagne.
Le soleil sur un horizon de vergers de mirabelle, de champs de clotûre, d'orées de bois, de toits de tuile et de clochers d'ardoise commencait sa douce descente vers la nuit.
Les adultes someillaient, dans les chuchotements rassurant, parfois intérompu par le rire d'un écolier.

Le parc animalier, ils y avaient tous vus les animaux sauvages d'une europe disparue.
Bisons, loups, félins, loutres et tant d'autres qui peuplaient encore ces vallées, aux milles ans du moyen age.
Les enfants avaient imaginé, cette époque comme un monde un peu féérique, pleine d'aigles, de forêts enchantées, de hululements nocturnes et de riviéres pures de saumons...
Les adultes avaient pensé, quel monde difficile cela devait être, sans avions, sans centres en tout genre, sans deezer et sans l'invention de monsieur Poubelle devenu plastique...

Ce rapprochant, on voyait des éclairs, de temps à autre.

C'était pas réellement de l'orage, juste un temps orageux, avec du vent, que les jeunes voyageurs percevaient de temps à autre par un petit sifflement, dans les infractuosités du bord des vitres.
Les phares éclairaient la route, des feuilles et autres brindilles, volaient à travers, laissant soudainement aparaitre l'éclat de leurs couleurs....Tout d'un coup !!!!!!

Cccrrrr...
iiiiiirrhhhhhh...

Un craquement énorme dans un crisement de métal.......puis !Traverssant le car, un bruit, assourdissant.

Lea et Juliette, hurlérent... comme tout les autres !
Le véhicule de toute son inertie, freina, projetant, chacun, chacune !Dans les sieges devant.
Il y eu pas de choc.
Le moteur câla... juste un arrêt brutâl.

Restait une faible lumiére tamisée, dans la cabine.
Il y eu pas de cris... par trop de surprises, de paniques et d'angoise de l'obscurité soudaine.
Les corps furent soudain immobilisés, suppendus un moment, à une douleur légére lourde du chahutement.

Léa se pencha vers sa soeur, Juliette, qui elle même cherchait à la trouver, Le chauffeur avait bien donné toute les consignes, mais personne n'avait réellement écouté.

La plupart, ne s'étaient pas attachés.

Elles étaient devant, comme toujours, Léa avait voulu être prés de la maitresse, non pas qu'elle l'apréciait particulierement, mais elle aimait, qu'elle eu plus de son attention que les autres éléves...

Juliette, restait toujours avec sa soeur, comme une petite ombre auquel personne ne fait attention.

Se relevant, elles distingerent, dans les feux de croisement, immobiles, en travers de la route, un grand, large, et immence cylindre blanc.

La maitresse,... Odile, se remettant doucement, de l'événement, demanda, au chauffeur de maniére peu consciente,¨... que c'est il passé !
Paul, le chauffeur, dit qu'il ne savait pas... le bruit, une tornade.....il a freiné.
Il n'a pas encore bien vu ! Paul avait juste senti un grand coup...de vent, et appuyé de toute ses forces sur les freins.

Seul les petits passagers, les préocupaient à cet instant, ils se ressaisirent vite et parcoururent le couloir du bus, pour aller au devant des enfants.
Pas qu'ils aient réellement le sentiment, qu'il puisse y avoir des blessers, mais pour se rassurer eux méme aussi.
Les enfants allaient tous bien, quelques un pleuraient, certains doucement, d'autres plus bruyament.

Léa elle, parlait fort à sa soeur et à son petit voisin, qui n'endendait rien encore, il était comme en transe, choquée peut être,.. chacun se défend comme il peut, dans des instants là.

Léa leur dit, « regardez, c'est un avion, il est tombé, là devant.... là sur le coté ! ».......et Juliette de dire ! « Oui, Il est tout blanc... !»

Le garçon regarda à son tour, il vu bien, une sorte de bout d'hélice.
Et le grand morceau blanc dans les lumiéres des phares de l'autocar. Mais, il avait déjà vu beaucoup d'avions... et celui là était bizarre !

Il faut dire que son pére était pilote...
Il fit, donc...cette remarque, « C'est pas un avion, cela doit être une sorte de nouvelle fusée ou un missile à hélice »

Léa répondit.« T'est pas un peu fracassé, de l'hypothatamus, ça n'exite pas ces engins là !».
Le copain, qui ne connaissait pas ce mot, répondi, « De quoi tu parle ! Je ne suis pas aussi gros qu'un hypopotame ».
Léa ne rétroqua rien, elle ne connaissait pas le sens du mot « hypothalamus ».
Pour sa défense, Les programes pour enfants de la télévision donnent du vocabulaire, mais pas toujours les explications et les définitions.
La maitresse de retour à l'avant qui les avait entendues leur dit : « l'hypothalamus, est une partie du cervaux, qui ne vous sert pas à grand chose en classe sinon qu'a dormir ».

Finalement le chauffeur, revient à son cockpit et comprit enfin la situation, ils étaient bloqués et pour un bon moment sans doute.
Les enfants plus calme, aprés quelques minutes, la maitresse sorti avec un parent dehors, par la porte de devant qui était ouverte.Paul les avait précédés. L'air commençait à fraichir et elle se senti frissonnée.

Maitresse Odile, s'imagina un bref instant devant une scéne de crach d'un avion. Et c'est avec un peu de temps, qu'elle découvrit une immense...immense...

éolienne.. couchée, cassée...écrasée.

Elle se réfleta tout d'un coup dans le pare brise, par la lumiére de la foudre. Elle avait basculé, comme un arbre se déracine, par violence soudaine d'un vent , identique sans doute, au phénoméne redouté par les pilotes en approche finale à l'attérissage... un coup de vent tournant, soudain et cisaillant !

Les pales avait étées fracturées et projettées de-ci, de-là, là fibres craquelées du carbone noire apparaissant, sous le blanc de la peau du laquage des pieces. Des morceaux divers ; un rotor, un stator... des cables se trouvaient un peu partout au sol.

Paul dit : « à une seconde prés nous étions tous morts... »

Odile était un peu écolo, et un instant elle se mit à penser, que les éoliennes pouvaient être assez dangereuse et pas seulement pour les paysages, méme dans une région où les brises ne sont pas très fréquentes.

Elle remonta dans le car, se disant que les enfants étaient en sécurité à l'intérieur. Et expliqua l'incident aux enfants.
La police fut assez vite sur les lieux, ainsi que les pompiers. Les enfants, étaient rassurés et amusés par les lumiéres bleues clignotantes. Les hommes du feux distribuérent des colations et à boire aussi.
Le car ne pouvant faire demi tour, il fut décidé de garder tout le monde en attendant le déplacement à l'aide de gros engin du mat génant le passage, sur la nationnale.

Léa prés de la maitresse, lui demanda, «Maitresse, je ne comprend pas, mon pére, il dit n'importe quoi...il pense que les éoliennes, c'est pas aussi dangereux que les usines atomnique pour faire de la fée électricitée ».
Odile un peu fatiguée, ne réfléchi pas trop et lui rédondit.« Ah oui,...tu as raison...une centrale, ne risque pas de tomber sur un car d'enfant ».
Juliette, qui écoutait, s'exprima pour une fois, « Maitresse, il faut pas contruire les éoliennes prés des routes, c'est tout !!!!! ».
Léa qui n'a pas pour habitude de laisser parler sa soeur, reprit, « C'est vrais, mais dans les champs, elle pourrait tomber sur les vaches ou méme...sur...un mouton »,
« Hien ! maitresse ! ».
La maitresse ne savait pas trop quoi répondre :
« On ne dit pas Hein... », « Heu... pour les vaches c'est pas si important... mais si une éolienne peut tomber là où il risque d'y avoir un seul enfant. Alors il faut sans doute la construire ailleur...en mer... dans la baie du mont Saint Michel, il y plein de place et plein de vents ».
Léa réfléchi un instant, et lâchat... « C'est vrai ça, il y a plein de vent, moi je connais bien... méme que mon tati...Daniel, il travaille là-bas pas loin, dans une belle grande usine à tu-ranium... »

La maitresse un peu agaccée parla sans réfléchir. « Là où il y a du vent, des éoliennes on n'en contruit pas beaucoup et on y fait parfois de beaux réacteurs, où il y a pétole et prés des routes on en construit tout plein et à la belle saison elles restent souvent immobile ».

Tout à coup, le petit garçon, qui s'appelait Simon, qui n'en perdait pas une, regarda Odile avec ses petits yeux bleus brillants en fronçant ses petits sourcils blonds,... et dit, « Les usines ça peut exploser...il peut y avoir des accidents et faire du mal à un enfant...ou à son mouton si il en a un, alors pourquoi, on ne les construit pas au milieu ou au fond de l'océan ! »

Odile se rappellant soudainement de toutes ces villes d'enfants martyres de l'industrie... Ne voulant et ne pouvant plus rien expliquer...Se trouvant d'un coup si epuissé par cette journé à faire découvrir la nature et les animaux à ses éléves.

Dit promtement, Bon maintemnant « je ne veus plus rien entendre, c'est le jeu du silence... ».

C'est comme cela que commence un nouveau jeu d'adulte !Celui des trois singes et des enfants :

Ne rien voir,
Ne rien entendre,
Ne rien dire...Et penser aux enfants !

El..T

http://www.youtube.com/watch?v=EqhTy5U4RVk

Par téléphone...

Album: Crache ton venin
...
Je veux vous parler de l'arme de demain
Enfantée du monde elle en sera la fin
Je veux vous parler de moi, de vous
Je vois à l'intérieur des images, des couleurs
Qui ne sont pas à moi
Qui parfois me font peur
Sensations qui peuvent me rendre fou
Nos sens sont nos fils
Nous pauvres marionnettes
Nos sens sont le chemin
Qui mènent droit à nos têtes
La bombe humaine, tu la tiens dans ta main
Tu as le détonateur juste à côté du coeur
La bombe humaine, c'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un prendre
En main ton destin
C'est la fin
Hum, la fin
Hum, la fin
Hum, la fin
Mon père ne dort plus sans prendre ses calmants
Maman ne travaille plus sans ses existants
Quelqu'un leur vend de quoi tenir le coup
Je suis un électro bombardé de protons
Le rythme de la ville c'est ça mon vrai patron
Je suis chargé d'ÉLECTRICITÉ
Si par malheur au coeur de l'accélérateur
Je rencontre une particule
Qui me mette de salle humeur
Oh non!
Faudrait pas que je me laisse aller
Faudrait pas que je me laisse aller
Faudrait pas que je me laisse aller
Faudrait pas que je me laisse aller
Faudrait pas que je me laisse aller
Faudrait pas que je me laisse aller
Faudrait pas que je me laisse aller
Faudrait pas que je me laisse aller
La bombe humaine, c'est l'arme de demain
Enfantée du monde, elle en sera la fin
La bombe humaine, c'est toi elle t'appartient
Si tu laisses quelqu'un prendre en main ton destin
C'est la...Bombe humaine, tu la tient dans ta main
Tu as le détonateur juste à côté du coeur
La bombe humaine, c'est toi elle t'appartient
Si tu laisse quelqu'un prendre ce qui te tient
C'est la...
Bombe humaine, c'est l'arme de demain
La bombe humaine, c'est toi elle t'appartient
La bombe humaine, tu la tient dans ta main
Si tu laisses quelqu'un prendre en main ton destin
C'EST LA!

Votre blog de MA Folie de la Liberté de l'AMour.

mercredi 18 mars 2009

Je les encourage de tout Coeur, parce que en Afrique, j'étais bronzé !

Aucun commentaire:

Mes trois enfants, Léa, Juliette et Simon.