dimanche 25 décembre 2011

Paroles d'Indien...

Ces Paroles date du 19 éme Siécle en 1854 d'un sauvage comme il disait à l'époque, mais un Trés Grand Chef Indien Amérique du Nord.

Comment peut-on vendre ou acheter le ciel

« Comment peut-on vendre ou acheter le ciel, la chaleur de la terre ? Cela nous semble étrange. Si la fraîcheur de l'air et le murmure de l'eau ne nous appartiennent pas, comment peut-on les vendre ?

Pour mon peuple, il n'y a pas un coin de cette terre qui ne soit sacré. Une aiguille de pin qui scintille, un rivage sablonneux, une brume légère, tout est saint aux yeux et dans la mémoire de ceux de mon peuple. La sève qui monte dans l'arbre porte en elle la mémoire des Peaux-Rouges.

...Nous faisons partie de la terre et elle fait partie de nous. Les fleurs qui sentent si bon sont nos sœurs, les cerfs, les chevaux, les grands aigles sont nos frères ; les crêtes rocailleuses, l'humidité des Prairies, la chaleur du corps des poneys et l'homme appartiennent à la même famille._ Ainsi, quand le grand chef blanc de Washington me fait dire qu'il veut acheter notre terre, il nous demande beaucoup...

Un coin de terre, pour lui, en vaut un autre puisqu'il est un étranger qui arrive dans la nuit, et tire de la terre ce dont il a besoin. La terre n'est pas sa sœur, mais son ennemie ; après tout cela, il s'en va. Il laisse la tombe de son père derrière lui et cela lui est égal !

L'air est précieux pour le Peau-Rouge car toutes les choses respirent de la même manière. L'homme blanc ne semble pas faire attention à l'air qui respire. Comme un mourant, il ne reconnaît plus les odeurs.

Je suis un sauvage et je ne comprends pas une autre façon de vivre. J'ai vu des milliers de bisons qui pourrissaient dans la prairie, laissés là par l'homme blanc qui les avait tués d'un train qui passait. Je suis un sauvage, et je ne comprends pas comment ce cheval de fer qui fume, peut-être plus important que le bison, que nous ne tuons que pour les besoins de notre vie. Qu'est-ce que l'homme sans les bêtes ? Si toutes les bêtes avaient disparu, l'homme mourrait complètement solitaire, car ce qui arrive aux bêtes bientôt arrive à l'homme.

Toutes les choses sont reliées entre elles. Vous devez apprendre à vos enfants que la terre sous leurs pieds n'est autre que la cendre de nos ancêtres. Ainsi, ils respecteront la terre. Dites-leur aussi que la terre est riche de la vie de nos proches. Apprenez à vos enfants ce que nous avons appris aux nôtres : que la terre est notre mère et que tout ce qui arrive à la terre arrive aux enfants de la terre. Si les hommes crachent sur la terre, c'est sur eux-mêmes qu'ils crachent.

Ceci nous le savons :

la terre n'appartient pas à l'homme, c'est l'homme qui appartient à la terre.

Ceci nous le savons :

Toutes les choses sont reliées entre elles comme le sang est le lien entre les membres d'une même famille.
Toutes les choses sont reliées entre elles...
Mais, pendant que nous périssons, vous allez briller, illuminés par la force du Dieu qui vous a conduits sur cette terre et qui, dans un but spécial, vous a permis de dominer le Peau-Rouge.

Cette destinée est mystérieuse pour nous. Nous ne comprenons pas pourquoi les bisons sont tous massacrés, pourquoi les chevaux sauvages sont domestiqués, ni pourquoi les lieux les plus secrets des forêts sont lourds de l'odeur des hommes.

Que sont devenus les fourrés profonds ? Ils ont disparu. Qu'est devenu le grand aigle ?

Il a disparu aussi."



Si je pouvais parler avec lui, à travers le temps, je lui dirais, combien il avait raison et combien deux sciecles et demi aprés on ne peut que comprendre encore plus sa claire voyance et la profondeur de sa culture.

Je lui dirais aussi, qu'à mon époque, la fin du vingtiéme sciecle et le début d'un nouveau millénaire, les hommes ont détruit beaucoup et des petits peuples et on méme inventé des permis à polluer, des permis à détruire la nature et ils les vendent.

Mais je lui dirais aussi qu'il a fait une erreur, si la conscience universelle de Dieu existe, elle n'a jamais donné la terre aux hommes Blancs...

Ils la pillent comme ils savent détruire tout.

Je lui dirais aussi celà, dans ses absurtités l'homme Blanc, à cette capacité d'adaptation qui fait de lui un moteur, pour le développement de la technologie moderne, mais seulement et que celà à déjà permis aux hommes de marcher sur la lune et à des femmes de voir les plus grands fonds des mers.

Je lui dirais aussi que dans cette époque, j'ai pu être un enfant et que l'homme et la femme, sont multitudes et variétés !

Je dirais aussi, que je me suis toujours senti, noir dans mon corp de blanc, j'ai eu droit à une enfance et à une part de ma jeunesse dans des pays d'Afrique ou la nature était encore préservée.

La nature est indissociable de l'humanité de l'homme et de la femme, si ils s'en éloignent, c'est pour mieux y revennir un jour dans une nouvelle modernité, c'est pour moi une certitude, il n'y a pas d'avenir durable sans les éléments et les forces d'une nature vivante.

EL'.T Dimanche 1 janvier 2011 :'(

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Mes trois enfants, Léa, Juliette et Simon.

Mes trois enfants, Léa, Juliette et Simon.
Si impossible dans la manche d'a-révé du contentin !?. Aprés l'école de Créances, maintenant à saint lô ! mais je l'ai su de passage en Bretagne avant pâque 2009 information de leur Maman ma femme et accompagné d'un homme que je connais pas...ni le nom ?, Prénom !?