jeudi 12 février 2009
Le Chat...
L'Hétraie était dense.
Le chemin perdu,
Dans mes souvenirs.
Il était de ce coté là,
Dans la chaleur moite,
Du chant des oiseaux.
...
Bruissement de feuilles,
Peut être une biche,
Ou au pire, une laie !
Le sentier doit traverser,
une sapiniére d'ombre
et des petites clairiéres.
...
A l'autome, il y aura,
Le brame des cerfs,
Et le choc des bois.
Là, parfois toujour loin,
des mouflons viennent,
Attirés par les rochers.
...
Quand j'allais aux Epioux,
Enfant, ma grand mére,
S'inquitait de leurs roches.
Car ce Chat de Semois,
Est grand de cent métres
Et a une vue de dix lieux.
...
Il y a deux Chateaux,
Celui froid, du Bonaparte,
Et la belle Forge Roussel.
Godefroy de Bouillon,
Croisé, Roi de Jérusalem,
Tes chevaliers venaient ici.
...
Pas loin, pret d'un étang,
Un haret, surgissant,
tel la foudre, me fit peur.
Puis, le chemin retrouvé,
Arrive sur un plat,
Abrité par de grands hâts.
...
Du schiste coule,
L' eau torentueuse,
Sources du Tamijean.
Le reflet de ses lacs,
sont l'été de noirs,
Ou blancs d'hivers.
...
je me souvient si bien,
de ce doux tendre juillet,
A la plage des mousses.
Des Eplatis, d'eaux pures,
était l'interdit de ma passion,
Pour ma reine de mon ami.
.
..
...
A Jean,
dont le nom sonne,
Comme le plus fort,
des arbres des Epioux.
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